Rémi CROMBEZ
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Courant mai, mon véhicule est coincé sur le parking de mon travail : courroie de distribution cassée.
Je contacte le Garage de l’Eglise le 18 mai. Nous décidons du remplacement du moteur par un moteur d’occasion.
Le 21 mai, je reçois le devis (2 206,94 euros) et l'accepte.
J’ai contacté le garage pour être informé : le 12, 21, 25, 26 juin. On ne m’a jamais donné de délai précis.
Le 11 juillet, on me donne rendez-vous pour récupérer mon véhicule le samedi 13 juillet à 17h. Je me fais emmener. On m’explique que le véhicule n’est pas terminé. Rendez-vous est donc donné au lundi 15 juillet à 16h. Le jour dit, je me fais à nouveau emmener pour constater que le garage était fermé le lundi (!).
Le mardi 16 juillet, j’ai appelé à 9h pour obtenir une explication quant-à ce rendez-vous « manqué ». Le technicien avait fait une erreur, oubliant la fermeture de son garage le lundi. Il me dit alors qu’il réparera mon véhicule le jour même et le fera sortir du garage dans la soirée et me demanda si je ne pouvais pas décaler mon départ au mercredi 17 juillet. J’ai alors répondu que je ne pouvais pas faire cela étant tenu par diverses obligations.
Peu avant mon retour, le 24 juillet, j’ai contacté le garage pour savoir si le véhicule était prêt. On m’a répondu que oui. Je suis allé le récupérer le 26 juillet, où j’ai réglé la somme demandée et suis parti.
Le dimanche 28 juillet (soit deux jours après), alors que je me trouvais sur l’autoroute A77, à quelques km de Cosne-sur-Loire mon véhicule a déclenché une alerte « STOP » concernant le liquide refroidissement. Je me suis immédiatement immobilisé sur la bande d’arrêt d’urgence. Mon moteur fumait. J’ai contacté mon assurance puis la société d’autoroute qui a déclenché l’envoi d’un dépanneur. Lors de l’examen rapide du véhicule, il a constaté l’absence totale de liquide de refroidissement du véhicule.
Je précise que le liquide de refroidissement m’avait été facturé et qu’il devait donc fatalement s’agir d’une fuite.
Revenu en Seine-et-Marne le 30 juillet, je contacte donc à nouveau le garage du Chatelet-en brie pour connaître la marche à suivre. Dans un premier temps, on me demande si je ne peux pas remettre moi-même du liquide de refroidissement et de rapatrier le véhicule. Ce que je refuse formellement (craignant une nouvelle panne due à une cause non identifiée).
Je rappelle à nouveau le 2 août pour apprendre que mon véhicule a été rapatrié en Seine-et-Marne et que la panne avait semble-t-il été identifiée. Je demande que l’on me prête un véhicule le temps des réparations. On me répond qu’une voiture est disponible.
J’appelle à nouveau le 20 août pour prendre des nouvelles de l’avancement des travaux où l’on m’explique qu’une autre panne a été identifiée (de la condensation derrière le compteur de vitesse).
Je contacte régulièrement le garage les 23 et 28 août sans que l’on me donne de délai précis de réparation.
Ce n’est que le 12 septembre que j’obtiens un rendez-vous pour venir récupérer mon véhicule le samedi 14 septembre à 16h. A l’heure dite, je rends la voiture de prêt et repars avec mon véhicule.
Le 17 septembre au matin, alors que je tente de démarrer ma voiture, le contact ne se fait pas et les voyants s’éteignent. Je contacte le garagiste qui me donne rendez-vous le soir même à mon domicile à 17h. Il ne s’est pas présenté et ne m’a pas contacté pour m’annoncer un retard ou une absence. Il m’a contacté le 18 septembre pour organiser sa venue le soir pour 17h. Il a rapidement pu identifier la cause de la panne : la batterie n’était pas (ou mal) vissée, ce qui engendrait un faux-contact. Lorsque je lui demandais si cela arrivait souvent qu’une batterie se dévisse seule, il m’a répondu que cela voulait dire ici que la batterie avait été mal vissée (par lui, donc).
Bref, de l’amateurisme et un manque de total de communication. N’y allez pas.